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Depuis sa fondation en 1989, le Sappel a édité plusieurs ouvrages, livres, DVD … 4 fois par an, le journal du Sappel nourrit notre réflexion, apporte des actualités sur ce que nous vivons avec les Familles.
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ELLE EST BELLE CETTE EGLISE POURTANT
Réalisation AME – 1992 – 26 minutes
Présentation de la mission du Sappel à partir d’une retraite vécue par des familles en difficulté à La Bussière (71).
Nous y découvrons un visage de Dieu que les familles du Quart-Monde nous révèlent au travers de l’épaisseur de leur expérience de vie de foi.
20 € (frais de port inclus)
Si tu es l’ouvrage de Dieu, attends tout de sa main. Livre-toi à Celui qui peut te modeler, laisse-toi ouvrager.
Vous voulez trouver le feu ? Cherchez-le dans la cendre.
Qui humilie le pauvre outrage son créateur.
La différence entre les riches et les pauvres, c’est que les riches, ils ne pensent pas aux pauvres, alors que nous, on pense sans arrêt aux riches…
En cette heure là, Jésus exulta dans le souffle saint et il dit : « Je te bénis Père, Seigneur du ciel et de la terre car tu as caché cela à des sages et des intelligents et tu l’as dévoilé aux petits. Oui, Père car c’est ainsi que tu trouves ta joie. »
Il n’y aura pas de pauvre chez toi.
L’aimer pour ce qu’il est…
Souvenez-vous du visage de l’homme le plus pauvre et le plus faible que vous ayez jamais vu.
« Voici je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte… »
Si tu es l’ouvrage de Dieu, attends tout de sa main. Livre-toi à Celui qui peut te modeler, laisse-toi ouvrager.
Et quand viendra le fils de l’homme…
Dieu, il est affolé quand un homme se perd, comme une maman quand elle perd un enfant.
Les plus pauvres sont l’artère par laquelle il faut que le sang coule pour irriguer tout le corps. Si l’artère est obstruée, le corps tout entier meurt. Pour l’Eglise, c’est une question de vie ou de mort. Si la grâce passe par eux, tout est irrigué
« Je n’ai pas eu la chance de rencontrer les bonnes personnes au bon moment… »
S’il y a un pauvre chez toi, l’un de tes frères, dans l’une de tes villes, dans le pays que yhwh ton Dieu te donnes, tu n’endurciras pas ton cœur et tu ne fermeras pas ta main, mais tu lui ouvriras ta main toute grande.
Quand on est tous ensemble à se parler, on est en vie éternelle.
Ici-bas, je n’ai peur de rien ni de personne, en vérité. pas même d’un ange. Mais le gémissement du mendiant me donne le frisson.
Seigneur, c’est quand je parle de Toi que je te connais !
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