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Nuit d’adoration du jeudi 3 juillet
En ce début des mois de vacances, ayons le souci de prendre des temps de silence :
C’est Dieu qui vient à nous. Les choses sont beaucoup plus simples que nous le pensons. L’amour de Dieu veille sur nous depuis toujours. Nous nous agitons pour le chercher fort loin alors qu’il est déjà en nous. Il suffit de vivre cette vérité en nous pour réaliser cette adoration de ce qu’il attend de nous. Se laisser prendre par lui et se taire. Selon un vielle formule monastique : « Le Silence est ta louange »
Cela produit une joie profonde. L’âme sent croître en elle un désir plus intense de saisir le Seigneur ; si l’âme brule de cette soif toujours plus ardente c’est qu’elle devient plus semblable à l’objet de son amour. Elle s’unit à Dieu !
Don André Poisson, procureur général des chartreux, 1965
Dans la nuit, du jeudi au premier vendredi de chaque mois, nous sommes invités à prier une heure en communion les uns avec les autres.
Nous contemplons le Christ à travers le visage de tous ceux auxquels II a voulu s’identifier (Mathieu 25:31-46)
Cliquer ici pour télécharger le livret de la nuit d’adoration.
Si tu es l’ouvrage de Dieu, attends tout de sa main. Livre-toi à Celui qui peut te modeler, laisse-toi ouvrager.
Les plus pauvres sont l’artère par laquelle il faut que le sang coule pour irriguer tout le corps. Si l’artère est obstruée, le corps tout entier meurt. Pour l’Eglise, c’est une question de vie ou de mort. Si la grâce passe par eux, tout est irrigué
Dieu, il est affolé quand un homme se perd, comme une maman quand elle perd un enfant.
En cette heure là, Jésus exulta dans le souffle saint et il dit : « Je te bénis Père, Seigneur du ciel et de la terre car tu as caché cela à des sages et des intelligents et tu l’as dévoilé aux petits. Oui, Père car c’est ainsi que tu trouves ta joie. »
Si tu es l’ouvrage de Dieu, attends tout de sa main. Livre-toi à Celui qui peut te modeler, laisse-toi ouvrager.
« Je n’ai pas eu la chance de rencontrer les bonnes personnes au bon moment… »
Seigneur, c’est quand je parle de Toi que je te connais !
S’il y a un pauvre chez toi, l’un de tes frères, dans l’une de tes villes, dans le pays que yhwh ton Dieu te donnes, tu n’endurciras pas ton cœur et tu ne fermeras pas ta main, mais tu lui ouvriras ta main toute grande.
Vous voulez trouver le feu ? Cherchez-le dans la cendre.
Qui humilie le pauvre outrage son créateur.
Quand on est tous ensemble à se parler, on est en vie éternelle.
Souvenez-vous du visage de l’homme le plus pauvre et le plus faible que vous ayez jamais vu.
Et quand viendra le fils de l’homme…
Il n’y aura pas de pauvre chez toi.
Ici-bas, je n’ai peur de rien ni de personne, en vérité. pas même d’un ange. Mais le gémissement du mendiant me donne le frisson.
La différence entre les riches et les pauvres, c’est que les riches, ils ne pensent pas aux pauvres, alors que nous, on pense sans arrêt aux riches…
L’aimer pour ce qu’il est…
« Voici je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte… »
Qui sommes-nous?
rendez-vous
Sep
